La France occidentale LES CHÂSSIS de fenêtres du XVe au XVIIIe siècle

Arnaud TIERCELIN

Plan du site

Utilisation du site

Contact


Croisées et châssis

1. Edifice

2. Edifice

3. Croisée n°1

4. Croisée n°2

5. Croisée n°2

6. Croisée n°2

7. Châssis n°1 et 2

8. Croisée n°3

9. Croisées n°3 et 4

10. Serrurerie

11. Serrurerie

12. Portes extérieures

13. Portes intérieures n°1 et 2

14. Portes intérieures n°2 et 3

1. Croisée 2 / élévation intérieure (relevé)

2. Croisée 2 / élévation extérieure (relevé)

3. Croisée 2 / sections horizontales

4. Croisée 2 / sections horizontales

5. Croisée 2 / sections verticales

6. Croisée 2 / serrurerie

7. Croisée 2 / serrurerie

8. Croisée 2 / vitrerie

9. Croisée 2 / élévation intérieure (restitution)

10. Croisée 2 / élévation extérieure (restitution / sans vitreries)

11. Croisée 2 / élévation extérieure (restitution / avec vitreries)

12. Porte 1

13. Porte 2

Avec six vestiges de ses châssis de fenêtre réalisés autour de 1530, le manoir de Bévilliers offre un témoignage exceptionnel sur les premières croisées à bâti dormant en France. Est-il besoin de préciser que nous ne connaissons pas plus d'une dizaine d'exemples de cette conception antérieurs à 1550 pour montrer leur rareté ? A Bévilliers, elles ont perdu leurs volets intérieurs, probablement lorsqu'elles ont été dotées de petits carreaux, mais cet écrin qui conserve quatre croisées et deux châssis demeure le seul à présenter une collection aussi importante. Si la perte de leurs volets est évidemment dommageable, la préservation dans le manoir de trois portes à bâti et panneaux nous permettra néanmoins d'en proposer une restitution, ces ouvrages étant d'ordinaire fabriqués par un même atelier et selon un parti décoratif commun. Le manoir de Bévilliers constitue donc une source de premier plan pour comprendre la genèse des croisées à bâti dormant et étudier les différences phases de leur mise au point.

Analyse Planches photographiques Plans

GONFREVILLE-L’ORCHER (76) - Manoir - 1528-1536