La France occidentale LES CHÂSSIS de fenêtres du XVe au XVIIIe siècle

Arnaud TIERCELIN

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Actualité 2024

Etude n°14031


MEZIDON VALLEE D’AUGE (14) - Manoir de Coupesarte


Là encore, un bel ensemble de châssis du premier quart du XVIIe siècle réemployé à divers endroits de ce manoir à pans de bois. L’exemple ci-contre servait de petit pigeonnier et conserve probablement sa peinture d’origine. Son excellent état et des clichés du début du XXe siècle nous ont permis de restituer sa vitrerie mise en plomb à losanges.

Etude n°35015


GAHARD (35) - Ancien prieuré Saint-Exupère


Deux belles croisées datables du premier quart du XVIIe siècle et restaurées à la fin du siècle ou au milieu du suivant. Elles conservent en grande partie leurs vitreries mises en plomb dites à « borne couchée double » dont les panneaux formaient un dessin continu.

Etude n°14036


LIVAROT PAYS D’AUGE (14) - Notre-Dame-de-Courson

Manoir de la Chapelle


Un exceptionnel ensemble de châssis du dernier quart du XVIe siècle réemployé dans des lucarnes. La remarquable authenticité du manoir nous a permis de retrouver leur emplacement initial et de restituer leurs dispositions d’origine. Nous disposons ainsi d’une image fidèle d’un manoir à pans de bois de la fin de la Renaissance.

Etude n°14035


BAYEUX (14) - Hôtel de Rubercy


Cette belle croisée, qui a perdu ses volets intérieurs, est conservée dans l’hôtel de Rubercy inhabité depuis les années 1950. Elle témoigne d’un type qui était encore doté de vitreries mises en plomb et employé jusqu’au début du XVIIIe siècle, avant la généralisation des croisées à simple traverse d’imposte.

Il s’agit d’un des derniers témoins à Bayeux et à Caen, la modernisation de nos demeures ne les ayant guère épargnés. Nous en donnons quelques exemples dans notre étude, hélas disparus…

A découvrir également dans celle-ci un rare et énigmatique enduit du début du XVIIIe siècle.    

Etude n°14037


BAYEUX (14) - Hôtel de Rubercy


L’hôtel de Rubercy conserve également cette croisée à petits carreaux, plus moderne et datable du dernier tiers du XVIIIe siècle. Elle ferme par un verrou double et était protégée par des contrevents brisés dont il ne reste que les fiches sur le bâti dormant. Notre étude a permis d’en proposer la restitution quelque peu compliquée par la présence d’un garde corps.