La France occidentale LES CHÂSSIS de fenêtres du XVe au XVIIIe siècle

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Arnaud TIERCELIN

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Les auteurs

Texte : Catherine Bolo et Christian Landon

Plans et relevé photographique : Christian Landon

Croquis d'architecture : Antoine Potiron

 

1 / L'immeuble

Description de l'immeuble (1997)

Document 1 : introduction, situation et disposition des bâtiments, la façade sur quai, la cour d'accès, la façade ouest, la petite cour, le puits de jour, la boutique sur le quai, les caves, l'escalier, l'entresol.

Document 2 : le premier étage.

Document 3 : le deuxième étage.

Document 4 : le troisième étage, les croisées, la menuiserie intérieure.


Description de l'immeuble (documents complémentaires - 2004)

Document 5 : origine du bâtiment, aveu de 1740.

Document 6 : autorisation de faire jouer les mines pour le creusement des caves 1738, la famille Gilagh, le ravalement de la façade sur le quai de la fosse, repérage des façades.

Document 7 : repérage des façades (suite), intérêt du bâtiment.

 

2 / Les châssis de fenêtres

Document 8 : description des croisées.


3 / Description et inventaire des châssis de fenêtres de l’Hôtel Gilagh

Nouveau document de Christian Landon qui complète les études précédentes (réalisation 2018)

 

Note : en matière de châssis de fenêtres, on retiendra que ce bâtiment, daté de 1740, utilisait deux types de croisée : des croisées traditionnelles à panneaux de vitres pour les appartements de commodité et  des croisées à carreaux de verre pour les appartements de société (essentiellement la façade sur le quai) et le vestibule. Seule la porte croisée du deuxième étage de la cour d'accès a conservé ses petits bois d'origine (doc. 1 - page 17). Toutes ces menuiseries recevaient des battants de rives à noix et des battants du milieu à doucine. Les vantaux vitrés des croisées à panneaux de vitres étaient ferrés sur des fiches à trois noeuds à broche rivée. Les volets, qui n'ont pas été conservés, s'articulaient sur des fiches à vases pour la croisée de l'office des appartements de société (doc. 3 - page 80) et sur des fiches à gond pour les croisées des appartements de commodité (doc. 2 - page 64). Aucune vitrerie mise en plomb n'a subsisté. La restitution de vitrerie à pièces carrées n'a donc qu'une valeur indicative. Elle est toutefois logique pour l'époque.